Utilisation libre en citant les références. Certaines images proviennent d'autres sources citées en regard, les mentionner aussi. Ne pas faire de copies détruisant la mise en page en changeant la signification (déjà arrivé hélas). Le mieux est de donner le lien vers la partie concernée.
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La péniche, gestion du patrimoine fluvial

La péniche, gestion du patrimoine fluvial

Glossaire

Vocabulaire des bords du canal par un ex-gauyeu, dater, même si descendant de dabords que voici en 1906, lors de la visite de cousins au bateau.

Bateau 'Rusé' en 1906

Les personnages ont l'air un peu fantomatiques et pourtant la photo est physiquement mieux conservée qu'eux.
Ceci est ma contribution à leur mémoire.
Le gamin à terre n'est pas de la famille.
27/11/2016

Les définitions données ici ne concernent que le cadre de ce site. Les autres sens sont ignorés.

La plupart des mots traitès ici le sont aussi dans le lexique fluvial et batelier auquel il est fait plusieurs appels. Mes explications sont de portée moins générale et ne doivent pas être considérées comme contradictoires. Je ne parle que de mon petit monde et éprouve parfois le "besoin" d'ajouter des réflexions personnelles.

Avalant : Bateau se dirigeant vers l'aval du canal. S'oppose à montant.

Armement : En matière de lignes électriques, ensemble des ferrures et isolateurs reliant les fils (où câbles) sous tension aux poteaux supports. A la CGTVN il était de formes variées, le rôle de la ligne n'etait pas seulement le transport de l'énergie mais aussi le chemin de roulement des trolleys. La modestie de la tension (600 V) permettait certaines "hardiesses".

Ballast : Si on parle chemin de fer : Les pierres placées dessous et entre les traverses pour asseoir la voie. Sur le réseau CGTVN, compte tenu des basses vitesses, c'était du roulé alluvial, moins cher dans les régions dont il est question dans ces pages, et de moins bonne qualité (mais suffisante en l'occurence) que le concassé de roches massives de la SNCF. Dans les régions comme les Vosges où les carrières de granit ou de grès sont proches, il est probable qu'il en était autrement. Mais je n'ai pas vu.
Si on parle bateau, ballast ou water-ballast : Cuves placées sur certains bateaux qu'on remplit d'eau à vide afin de faire enfoncer l'arrière et ainsi éviter que l'hélice ne sorte à moitié de l'eau, ce qui donne une belle gerbe, mais guère d'avancement. D'où l'expression apocryphe : "Remplis donc tes ballasts au lieu de brasser de l'air".

Bassinée : Action de vider ou remplir une écluse pour sasser un bateau.
La description suivante est relative aux écluses des canaux de l'est où les vannes sont dans les portes.
Lorsque rien n'est motorisé, l'éclusier doit fermer la porte derrière le bateau. Il commence par le vantail de la rive où il se tient. Si personne ne l'aide il doit faire le tour de l'écluse pour traverser par les passerelles de l'autre porte avant de pouvoir manoeuvrer le vantail de l'autre rive, sauf à utiliser le bateau s'il est à la bonne hauteur. Puis fermer les quatre vannes (deux par vantail) en tournant les manivelles qu'il faut retenir sinon ça tombe et ça casse (de la ferraille ou un bras). Puis il ouvre les vannes des autres portes et c'est dur tant que la différence de niveau d'eau est importante.
Le remplissage ou la vidange du sas faite, il ouvre la porte de sortie. Une fois le premièr vantail ouvert, si personne ne l'aide, etc.
Les vannes sont gardées ouvertes pendant la manoeuvre des portes afin de diminuer le résistance de l'eau.
L'opération terminée, l'écluse est prête pour un bateau en sens inverse.
Sans bateau, on parle de fausse bassinée. C'est nécessaire lorsque le nombre de bateaux par sens est déséquilibré et qu'il est indispensable d'écluser deux bateaux de même sens à la suite. Mais alors non seulement ça consomme de l'eau (et c'est pas bon l'été), mais il est seul et il doit faire deux fois le tour de l'écluse à coup sûr. Donc il n'aime pas.
Un marinier arrivant dans le mauvais sens, c'est à dire que le dernier bateau qui est passé allait dans le même sens, doit quelquefois attendre que le collègue qu'on voit arriver dans la ligne droite en face à 1 km soit éclusé. S'il y a un bistrot à coté il peut en profiter pour aller faire le même chose à un godet.

Bateau : Je n'ai jamais entendu parler de péniche dans le milieu de la CGTVN. (Pourtant, des livres en parlent abondamment dans le milieu des mariniers, mais si je n'ai pas tout vu, je n'ai pas tout entendu non plus.) Même le mot bateau, trop général, était utilisé avec parcimonie. Ce pouvait ainsi être tantôt un batard ou un berrichon, tantôt un moteur ou un traction, un montant ou un avalant, tantôt une vidange. Il me semble bien que les chargés (bateaux, évidemment) n'avait pas de désignation spécifique à cette caractéristique, somme toute banale, les vidanges étant une exception fugitive pour aller d'un point de déchargement à un point de chargement le plus proche possible.

Berrichon : Encore des bateaux, mais rares. Ils sont au gabarit du canal du Berry, c'est à dire beaucoup plus petits. Ils ont/avaient une charge utile bien moindre que les bateaux au gabarit Freycinet. Ceux qui fréquentaient les canaux que j'ai connu étaient des tractions et eux pouvaient être "tractionnés" à la vitesse maximum autorisée de 6 km/h, voire plus car il n'y avait pas de radars. Cela leur permettait de prendre des chargements plus petits à livrer plus vite. Du coup, ils pouvaient trémater les autres bateaux.
Plus d'informations ici.

Bitte : Dispositif en forme de champignon, ou de cylindre traversé d'une barre, pour amarrer les bateaux.

Boulard (ou bollard, lequel terme n'était pas utilisé aux endroits que j'ai fréquenté) : Un boulard à une tête de bitte (avec deux t). Aux endroits et dans les milieux que j'ai fréquentés, Ce mot était utilisé de préférence à l'autre sur les canaux.

Courbe de chevaux : Courbe tout court dans le langage des mariniers. Equipage de deux chevaux en couple pour le halage des bateaux. Désigne aussi la pièce de bois "courbe" qui unit les chevaux.
(Image extraite du numéro 30 des cahiers du musée de la batellerie. Mai 1993 par F. Berenwanger "Halage et traction, souvenirs d'un batelier")
Si la pièce de bois principale est ainsi désignée, le nom pourrait s'appliquer aussi aux plus petites pièces à l'arrière de chacun des deux chevaux. Dans d'autres professions chacune de ces trois pièces porte le nom de palonnier.
En cas de croisement d'un tracteur, il pouvait être nécessaire de découpler les chevaux pour les placer l'un derrière l'autre. S'il était nécessaire de continuer à tracter lorsque le passage était étroit et long (voûte), les bêtes étaient attélées en tandem appelé lognette.

Diplorry : Engin de manutention sur les chantiers ferroviaires composé d'une poutre métallique (2 UPN accolés, pour ceux décrits ici) avec deux petites roues de chaque coté pour se déplacer sur les rails. Léger, il peut être enraillé ou déraillé par 2 hommes, (ceux dont je parle ici pouvait même être manipulé par un seul, une extrémité après l'autre) associés 2 par 2 on peut y placer de lourdes charges comme des traverses ou des files de rail. Tous les exploitants de réseau ferré en utilisent.

Quelquefois le mot lorry est utilisé, mais à la CGTVN ce dernier terme désignait un petit wagon plat, à peine plus haut que le diplorry, court, à deux essieux, pourvu de crochets d'attelage, permettant de charger davantage et d'être facilement accroché à un tracteur par une élingue ou une barre. Le lorry était trop lourd pour être déplacé à la main hors de la voie.
Celui de la photo ci-contre est différent sur deux points de ceux que j'ai vus : Il est beaucoup plus long et les boites d'essieux sont à l'extérieur des roues ce qui l'empèche de passer à pas mal d'endroits. Le diamètre des roues est le même. En 2008, il est "utilisé" à Foug par les services de la navigation. Son origine CGTVN est douteuse.

Gauyeu : En Champagne, gamin. Gauyer c'est s'amuser en agitant de l'eau avec les mains ou les pieds. Une occupation de cet age. Probablement de la même racine que gué ou gois. Quant à l'orthographe ?

Marquise : Dans la batellerie la marquise est l'abri du barreur. Sur les (auto)moteurs où la barre était à roue elle était complètement fermée et donnait accès direct à la cabine (logement du marinier situé en-dessous), par contre dans les traction(né)s en bois qui avaient en général une barre franche ce n'était qu'un simple auvent ouvert sur l'arrière et les cotés. Sur ces bateaux la cabine était souvent au milieu.

Montant : Bateau se dirigeant vers l'amont du canal. Un montant devient avalant lorsqu'il a passé le bief de partage. C'est souvent sur les biefs de partage que se trouvent les voûtes.

Moteur : Bateau pourvu d'un moyen de propulsion autonome qui se trouve justement être un moteur. S'oppose à traction. Le terme officiel est automoteur, mais n'etait pas employé couramment là, et dans le milieu, où j'ai observé.

Section mouillée : Partie d'un plan vertical, délimitée par le fond d'un cours d'eau, ses bords et la surface de l'eau qu'il contient.
Si la définition vous parait un peu sèche, un p'tit dessin ne peut faire que du bien.

1 - En vert, la section mouillée d'un canal. 20 m entre berges, 2,50 m de hauteur d'eau.
2 - En dessous, le même canal avec un bateau. Il a les caractéristiques d'une péniche. (5 m de large et 2 m d'enfoncement) Le bateau, en avançant provoque le déplacement en sens inverse d'une quantité d'eau égale à son volume immergé. La section hachurée est disponible pour écouler cette eau. Tant que le canal est large, on considère qu'on est en eau libre.
3 - Si le passage est étroit (pont-canal, écluse, etc) l'eau s'écoulant en sens inverse consomme d'autant plus d'énergie que la partie restante de la section mouillée est petite. On doit tirer (ou pousser) plus fort tout en allant moins vite.

Tirage : Corde de chanvre ou câble d'acier ou mixte utilisé pour tirer les bateaux depuis le tracteur. Appartient au marinier qui veille sur son intégrité notamment à chaque démarrage où une secousse peut le rompre, notamment s'il est en mauvais état.

Hors bord

S'il n'y a pas de corde sur un bateau (sauf celle de la cloche), il n'y a pas non plus de câble. Là où (et quand) j'ai observé, la remorque était nommée tirage. Il était amarré sur le boulard avant, (ou sur un petit mat dit de traction ou de canal) coté traction, en exerçant une force non parallèle à l'axe du bateau qui tend à le faire dériver vers la berge. Le fait d'amarrer sur le coté compense en partie la dérive. Le reste est l'affaire de l'homme de barre. Et quand c'est une barre franche (directe comme sur un petit voilier) il faut du muscle et/ou du savoir faire. J'ai souvent vu, comme ci-contre (Doc Guillaume Kiffer) lors d'une manoeuvre d'évitement d'un bateau à croiser par exemple, et en était impressionné, des barreurs ou barreuses, les pieds sur l'arête du plat-bord, la barre dans les reins pour pousser en contrôlant par fléchissement des jambes, le corps entièrement au dessus de l'eau sans le moindre cordage pour se rattraper en cas de glissade. Et aux pieds bien souvent des sabots de bois. Pour revenir il faut faire confiance à la force de rappel du gouvernail. Pour ceux qui n'ont jamais tenu une barre, je précise que la barre d'un bateau qui ralenti exerce de moins en moins de force de rappel. Il faut en tenir compte pour ne pas tomber à l'eau.
Sur la photo, à Montceau-les-Mines, date inconnue, le tirage est bien visible, mais le tracteur est indistinct.(1)

Tracteur : Machine sur rail ou sur pneus, électrique ou à moteur diesel utilisée pour la traction des bateaux dépourvus de moyen de locomotion propre. Le terme locotracteur n'est pas employé. Les hommes de la CGTVN utilisait plutôt le terme machine, comme à la SNCF où on ne dit pas locomotive.

Traction : Bateau dépourvu de moteur ayant recours à la CGTVN. S'oppose à moteur.

Trématage : Action de dépasser un autre bateau plus lent. Contrairement au doublement routier, le trématage nécessite au minimum l'assentiment du trématé, voire sa contribution active. Le trématage d'un traction par un (auto)moteur etait une manoeuvre courante, mais le trématage par un traction est une affaire un peu plus délicate. Il faut que le bateau le plus lent s'arrête et serre la berge coté opposé à la voie. Si c'est un traction, il faut en plus détendre le tirage pour le poser au fond du canal afin que le plus rapide passe au-dessus sans risque de l'accrocher. Les deux tracteurs troquent leurs bateaux mais continuent dans le même sens. Cela impose que le trématé participe activement à la manoeuvre en perdant du temps. J'ai entendu des discussions prouvant que ce n'était pas toujours le cas. Si la différence de vitesse n'est pas nette, le trématage est reporté à l'écluse suivante. Les berrichons dont la vitesse pouvait être de 50% supérieure (6 km/h au lieu de 4) trémataient en plein bief.

Patte d'oie : Chemin sur pilotis quelquefois en bois le plus souvent en béton relié à la berge, placé à l'amont et à l'aval de chaque écluse avec deux fonctions : guide pour l'entrée des bateaux et duc-d'Albe pour l'amarrage temporaire en attendant son tour. Utilisé aussi pour le stationnement nocturne des bateaux.

Vidange : Nom féminin désignant un bateau sans chargement. Les tractions n'avaient pas de ballasts, faute d'énergie pour les remplir et les vider et étaient particulièrement délicats à déplacer à vide au bout du tirage les jours de vent puisque la coque dépassait de 1,50m à 2m au dessus de l'eau. L'enfoncement dans l'eau n'était plus que de 30 cm et le safran ne trempait pas plus que ça. A cause de cela, mais surtout pour des raisons économiques, les mariniers s'organisaient pour limiter leurs déplacements dans cet état.
Certains étaient équipés d'une extension du gouvernail (lunette) manoeuvrable à l'aide d'un petit treuil qui permettait d'augmenter leur prise dans l'eau, voire d'un bouteur (terme consacré et préexistant à la francisation du mot bull-dozer qui n'a rien à voir avec le canal) c'est à dire d'un gouvernail déployable en-dessous de l'avant et commandé depuis l'arrière à l'aide de cordages.
Le marinier d'une vidange sans ballast devait démonter sa marquise pour passer sous les ponts, et le plus souvent se baisser pour éviter de se cogner la tête.

Voûte : Souterrain dans lequel passe un canal navigable. Si souterrain est le terme officiel dans les documents de l'Office National de la Navigation (ONN) ancêtre de Voies Navigables de France (VNF) je n'ai jamais entendu celui de tunnel à l'époque à laquelle je fais référence.

Le terme de tunnel est particulièrement impropre à la voie fluviale. Il serait le retour via l'angleterre du mot français "tonnelle" que les anglais, inventeurs du chemin de fer, ont mis à leur sauce. La voie fluviale préexistant à la voie ferrée, il était logique qu'elle n'utilise pas ce mot qui lui était inutile. Mais la langue évolue et faute de chercher le terme exact, les non-initiés trouvent celui de tunnel et s'en contentent. Ce dernier fini par être utilisé aussi par les jeunes mariniers et c'est comme ça qu'une langue s'appauvrit. Le dictionnaire marinier illustré, (Bief édition, 1998), pourtant très pointu par ailleurs, à la liste des auteurs impressionnante par sa longueur, consacre même le terme de tunnel en cinq mots.

Il y a une autre voûte, et mème deux très proches, sur ce canal, pour traverser les Vosges, en passant du bassin de la Moselle à celui du Rhin, à proximité de Sarrebourg. C'est sur le versant alsacien qu'on a construit le plan incliné d'Arzviller-St Louis, qui est néanmoins en Lorraine, et a permis de supprimer 17 écluses.

Tunnel et voûte

Voici la tête ouest de celle d'Arzviller. (Photo Rolf Löttgers, même endroit, même bateaux que celle de l'accueil, quelques minutes après mais le train est passé. P'tet que vous n'avez pas cliqué assez vite.) Il y a un autre souterrain parallèle. Dans chacun passe une voie ferrée (1971. L'importance de la navigation nécessitait encore la traction électrique) et les maçonneries visibles sont semblables. Mais à gauche c'est un tunnel et à droite une voûte.

Il y a une autre grande voûte sur ce canal, celle de Demange-aux-Eaux/Mauvages sur l'autre bief de partage et deux autres plus courtes, à Liverdun (voir cette page), aujourd'hui désaffectée et Foug qui ne sont pas sur des biefs de partage, mais permettent au canal de franchir un éperon rocheux.

Voûte du Mont-de-Billy, environ 2,5 km et 45 mn de passage. Cet ouvrage, sur le bief de partage du canal de l'Aisne à la Marne, est repérable facilement sur la carte Michelin au 1/200 000 et sur Géoportail On distingue bien l'A4 et le TGV Est qui lui est parallèlle. En surface, le tracé de la voûte apparait en vert foncé. Cela est dû aux plantations faites sur le terrain d'emprise qui a été acheté par l'Etat dès la construction. La tête de voûte coté Mont-de-Billy est celle du nord.

L'aire de la Champagne de l'autoroute A4, près de Reims, a été construite partiellement au-dessus. A cet endroit les bateaux automoteurs devaient obligatoirement utiliser la traction CGTVN, sinon, on aurait eu le temps d'être enfumé. Ils étaient organisés en rames de 4 ou 5 bateaux tirés par un seul tracteur plus puissant. D'autres tracteurs de puissance moyenne tiraient 2 ou 3 bateaux. Ce service fonctionnait encore dans les années 80 alors que le reste du réseau était démonté. Aujourd'hui, les moteurs diesel sont autorisés à fonctionner dans le souterrain, mais le trafic n'est plus le même.

Plus connue et plus longue est celle de Mauvages à Demange-aux-Eaux qui permet au canal de passer du bassin de la Marne (Ornain) à celui de la Meuse. La traction y est assurée par un toueur. Le versant Marne compte 70 écluses et est surnommé vallée de 70.


Des liens sur quelques mots renvoient au lexique fluvial et batelier autrement plus sérieux que moi. Il y a certaines différences dans l'usage de certains d'entre eux, mais si je reste affirmatif en ce qui concerne ce que j'ai (ou pas) vu ou entendu, je ne prétends à aucune vérité et ce qui est dit ici n'est que mon expérience modeste et personnelle.


notes

A bord

1 - Voici le même bateau juste avant. L'autre photo est prise du pont.
Le marinier a fixé l'amintot et a autre chose à faire pour l'instant. C'est après le pont qu'il devra donner le coup de barre pour suivre la sinuosité du canal. Il passe là souvent, et n'est pas impressionné (lui) par ce qu'il va devoir faire.

On voit le tracteur, même si on ne peut l'identifier.
(Doc Guy Matignon)


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